Polémique autour du lévothyrox, est-ce toujours d’actualité ?
Il y a quelques mois, le tribunal d’instance de Lyon étudiait le cas du Lévothyrox, ce médicament qui remplace l’hormone normalement produite par la thyroïde. En effet, suite à des modifications de la formule, celui-ci avait généré des effets secondaires chez de nombreux patients. Plus de 4 000 dossiers de plaignants s’étaient unis pour dénoncer ce que certains avaient alors dénoncé comme une crise sanitaire. Quelle était la polémique et quelle est la situation actuelle ?
Quelle était la polémique autour du Lévothyrox ?
À la demande de l’ANSM (l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé), le laboratoire Merck qui fabrique le Lévothyrox en avait changé la composition. En effet, l’ANSM avait détecté que les comprimés perdaient en substance active au fil du temps. Pour stabiliser la substance active le lactose présent dans le médicament avait été remplacé par du mannitol. Or, cette modification de formule avait entrainé des effets secondaires, tels que des maux de tête, des crampes, de la fatigue extrême voire un état dépressif, chez plus de 31 000 patients soit environ 1 % des personnes sous traitement avec Lévothyrox. Le mannitol à faible dose est tout fait inoffensif d’après l’ANSM, c’est pourquoi tout au long de la polémique, différentes hypothèses ont été avancées pour expliquer les effets secondaires chez les patients. On a d’abord mis en cause le changement de formule qui aurait pu modifier la manière d’assimiler le principe actif. Puis en mai 2018, l’association des plaignants avait accusé des nanoparticules de métal qui auraient été vues dans les comprimés. Le laboratoire Merck niait et affirmait quant à elle qu’il était possible que ce soit dû à une dose un peu plus faible de lévothryroxine dans les comprimés.
Où en est-on ?
À ce jour, plusieurs procédures ont eu lieu, dont celle devant le tribunal d’instance à Lyon. Celui-ci a débouté les plaignants qui attaquaient le laboratoire Merck pour « défaut d’information ». Une procédure pénale a également été ouverte pour « tromperie aggravée », « blessure involontaire » et « mise en danger d’autrui » à Marseille. Un juge devra enquêter sur les plus de 7000 plaintes qui ont été déposées un peu partout en France. En février, l’enquête a été élargie pour « homicide involontaire », prenant enfin en compte les 14 personnes sous traitements de Lévothyrox qui sont décédées suite au changement de formule. Cependant, à l’heure actuelle, la cause des effets secondaires n’a toujours pas été identifiée et le jugement du tribunal pénal n’a pas encore été rendu.
sous titre 3
Ici votre texte… Thalassius vero ea tempestate praefectus praetorio praesens ipse quoque adrogantis ingenii, considerans incitationem eius ad multorum augeri discrimina, non maturitate vel consiliis mitigabat, ut aliquotiens celsae potestates iras principum molliverunt, sed adversando iurgandoque cum parum congrueret, eum ad rabiem potius evibrabat, Augustum actus eius exaggerando creberrime docens, idque, incertum qua mente, ne lateret adfectans. quibus mox Caesar acrius efferatus, velut contumaciae quoddam vexillum altius erigens, sine respectu salutis alienae vel suae ad vertenda opposita instar rapidi fluminis irrevocabili impetu ferebatur. Et hanc quidem praeter oppida multa duae civitates exornant Seleucia opus Seleuci regis, et Claudiopolis quam deduxit coloniam Claudius Caesar. Isaura enim antehac nimium potens, olim subversa ut rebellatrix interneciva aegre vestigia claritudinis pristinae monstrat admodum pauca. In his tractibus navigerum nusquam visitur flumen sed in locis plurimis aquae suapte natura calentes emergunt ad usus aptae multiplicium medelarum. verum has quoque regiones pari sorte Pompeius Iudaeis domitis et Hierosolymis captis in provinciae speciem delata iuris dictione formavit.